Les assises du forum régional sur la conservation de la nature et des droits fonciers des communautés locales et peuples autochtones du bassin du Congo se sont clôturées le 20 septembre dans la ville de Kinshasa en République démocratique du Congo. Il a été question pendant trois jours pour les participants d’apporter des réponses sur un nombre d’aspects consernant la conservation de la nature du bassin du Congo.
Clôturées le 20 septembre à Kinshasa en République Démocratique du Congo (RDC), les assises du forum régional sur la conservation de la nature et les droits fonciers des communautés locales et peuples autochtones du Bassin du Congo ont tenu pendant trois jours à chercher des réponses sur bon nombre d’aspects touchant la conservation de la nature et les droits des communautés locales et peuples autochtones. Experts, gouvernements et sociétés civiles venus du Bassin du Congo ont fait plusieurs recommandations : Aux gouvernements des pays du Bassin du Congo, il est demandé l’élaboration ou la mise à jour des stratégies nationales de la conservation de la nature tout en protégeant les droits des communautés locales.
En plus, ils devront harmoniser le cadre juridique sur les ressources naturelles dans la perspective de la reconnaissance des droits fonciers des peuples autochtones. Leur contribution est aussi attendue dans la lutte pour préserver la biodiversité entre autres. La société civile n’est pas en reste. Ces assises l’ont également interpellée pour la mise en place d’un cadre d’échange pour la promotion et la protection juridique des droits fonciers des communautés autochtones. Les gouvernements se chargeant à leur tour d’assurer et de renforcer la protection des communautés locales à l’exemple des pygmées.
Étendu sur six pays en Afrique Centrale dont le Cameroun, le Bassin du Congo constitue l’un des plus importants massifs de forêt équatoriale continue qui demeure sur la planète.