Ajoutez votre titre ici

Développement des villes : la Banque mondiale s’engage pour la deuxième phase du programme

Après les succès enregistrés lors de la mise en oeuvre du premier PDVIR, la Banque mondiale se projète déjà vers un nouveau programme beaucoup plus ambitieux. C’est l’objet de l’audience accordée le 8 mai 2024 à Yaoundé par Madame le ministre de l’Habitat et du développement urbain, Célestine Ketcha Courtès, à une importante délégation de la Banque mondiale, conduite par Guillemette Sidonie Jaffrin, Directrice adjointe de la Banque Mondiale, et Responsable en chef des opérations.

Faisant le résumé de cet échange avec Célestine Ketcha Courtès, le chef de mission, Madame Guillemette Sidonie précise que : « Nous avons au cours de cette audience, fait le point sur l’engagement de la Banque mondiale dans le secteur urbain au Cameroun, à travers l’un de nos projet dénommé PDVIR, exécuté depuis quelques années déjà dans plusieurs villes du pays, avec des résultats assez satisfaisants, au regard des témoignages des populations bénéficiaires.

Ainsi, nous préparons déjà un nouvel engagement toujours dans le secteur urbain. L’objectif étant toujours d’améliorer la qualité de vie des habitants des villes de Yaoundé et Douala principalement et donc d’améliorer les services urbains de base, donc les infrastructures urbaines, avec des impacts rapides sur le terrain, afin que les bénéficiaires puissent voir les résultats assez rapidement dans leur quotidien, en termes de voiries, de drainage et bien d’autres investissements pour des services de proximité.

Nous avons par exemple les cas des quartiers Nkolmesseng et Oyomabang, où nous avons développé des voiries. Et maintenant, il y a moins de poussière dans ces zones. Nous avons de très bons retours sur tous ces investissements réalisés, malgré toutes les contraintes enregistrées ici et là. En résumé, la Banque mondiale est satisfaite des résultats enregistrés lors de cette première phase du Pdvir ».

À la suite de madame guillemette Sidonie, Célestine Ketcha Courtès dit toute sa satisfaction : « je dirai que PDVIR qui est un très beau projet, accéléré sur très Hautes directives du Président de la République, dans le cadre de l’amélioration de la modernisation de nos villes, de l’amélioration de la mobilité dans les quartiers précaires. Le PDVIR, c’est Nkolmesseng, c’est Oyomabang, c’est Batouri, ce sont les services essentiels de base, tels que le tout premier Centre de gestion des boues de vidange de la ville de Douala, en construction à Ngombé, dans la commune de Douala 5.

Pour tout cela, je voudrais dire que c’est à cause de ces belles pratiques, des leçons apprises, des progrès réalisés dans le cadre de ce PDVIR, que notre partenaire financier et technique, qui est la Banque mondiale, a décidé de la poursuite de ce beau projet dans notre pays, en attaquant principalement les villes de Douala et Yaoundé ». Pour mémoire, le PDVIR est d’un Coût total de 93 milliards de FCFA, avec les retombées positives attendues sur environs 651 400 bénéficiaires directs.

Redigé par:

Source:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Partagez

Espace annonceur

Les Plus commentés

Hadj 2018 : Paul Biya fait un geste aux pèlerins
Douala: Serge Espoir Matomba muselé par le maire de Douala IV
Cameroun: Samuel Dieudonné Ivaha Diboua s’oppose aux actes de délinquances
Grand dialogue national: le passage mémorable des ex-combattants séparatistes

Articles qui pourraient vous plaire

Rechercher ...

Téléchargez notre application For you Media Africa dès maintenant

Ce site utilise des cookies

Nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations relatives à l’appareil. Nous le faisons pour améliorer l’expérience de navigation et afficher des publicités personnalisées. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou des identifiants uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir des conséquences négatives sur certaines caractéristiques et fonctions.