Ajoutez votre titre ici

Agressions de migrants en Tunisie: des centaines d’Ivoiriens postulent à un rapatriement dans leur pays

Après les propos du président tunisien Kaïs Saïed sur les migrants et une vague d’agressions contre les ressortissants subsahariens en Tunisie, de plus en plus d’Ivoiriens postulent à un rapatriement dans leur pays.

En effet, depuis l’appel de leur chancellerie le 24 février 2023 pour enregistrer les Ivoiriens désireux de repartir dans leur pays, le gouvernement Ivoirien a également annoncé le déblocage, le 1er mars d’un milliard de francs CFA (1,5 million d’euros) pour aussi octroyer un pécule à 500 ressortissants identifiés pour le retour volontaire et faciliter ainsi leur réintégration dans le pays selon le porte-parole du gouvernement ivoirien.

Cinq cents Ivoiriens devraient être rapatriés selon les premières annonces du gouvernement Ivoirien. La Tunisie compte près de 7000 ressortissants Ivoriens selon l’Institut National de la Statistique. La date d’arrivée du premier avion n’a pas été encore donnée.

Redigé par:

Source:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Partagez

Espace annonceur

Les Plus commentés

Hadj 2018 : Paul Biya fait un geste aux pèlerins
Douala: Serge Espoir Matomba muselé par le maire de Douala IV
Cameroun: Samuel Dieudonné Ivaha Diboua s’oppose aux actes de délinquances
Grand dialogue national: le passage mémorable des ex-combattants séparatistes

Articles qui pourraient vous plaire

Rechercher ...

Téléchargez notre application For you Media Africa dès maintenant

Ce site utilise des cookies

Nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations relatives à l’appareil. Nous le faisons pour améliorer l’expérience de navigation et afficher des publicités personnalisées. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou des identifiants uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir des conséquences négatives sur certaines caractéristiques et fonctions.