Selon le communiqué final, les participants au mini-sommet de Luanda ont exprimé leur préoccupation concernant l’aggravation de l’insécurité et les actions militaires persistantes du M23, l’acquisition par le M23 d’armes et d’autres moyens de plus en plus sophistiqués pour mener des attaques, et la persistance des forces qualifiées de négatives et terroristes dans l’est de la RDC.
Pour parvenir à la désescalade recherchée par la médiation, plusieurs décisions ont été prises. La première est la cessation des hostilités, et en particulier des attaques du M23 contre les forces armées de RDC et la Monusco à partir du 25 novembre 2022. Deux jours plus tard, le groupe rebelle devra se retirer des zones conquises pour regagner ses positions initiales, tandis que la force régionale de la Communauté de l’Afrique de l’Est poursuivra son déploiement.