A la recherche de meilleures condition de vie, en manque d’opportunités d’emploi, ou encore en quête d’un équilibre parfait entre les compétences et l’offre d’emploi sur le marché, convaincus que l’Afrique c’est l’enfer et l’occident le paradis, plus de 25 millions d’africains quittent le continent depuis 2017 ; entre 2000 et 2017, les chiffres étaient encore estimés à près de 17 millions. Une constatation qui n’a pas échappé au Premier Secrétaire du Peuple Uni pour la Rénovation Sociale, MATOMBA S.E, pour qui « l’heure n’est plus au diagnostic du problème » puisque les facteurs sont nombreux et connus.
« La pauvreté et les dirigeants qui servent les intérêts des étrangers »
A l’aune des pourcentages susmentionnés, il revient que le problème est bien ancré, et que la faute peut être imputée aux dirigeants dont la politique implémentée ne répond aucunement aux aspirations des peuples demandeurs de conditions de vie acceptables sur leurs terres, demandeurs de la démocratie économique, celle qui consacre que les biens d’un pays appartiennent aux populations de ce pays. Ainsi si seulement 10% des richesses naturelles des pays étaient reversés aux habitants, la pauvreté serait en chute, les affrontements dans les communautés de même et évidemment les déplacements des peuples en quête de meilleures conditions de vie ne seraient qu’un souvenir lointain.
C’est d’ailleurs l’avis du Premier Secrétaire du P.U.R.S qui a convoqué la politique sous l’ère du guide libyen MOHAMAR KHADAFI, dont le pragmatisme a longtemps été vanté. MATOMBA S.E estime que ce président avaient construit un abri riche pour les habitants si bien « penser retrouver un libyen à l’étranger pour des besoins de meilleurs conditions d’existence était semblable à penser trouver une aiguille dans une botte de foin »
L’Afrique deuxième continent le plus peuplé abrite 12% des réserves mondiales de pétrole, 60% des minerais de Manganèse, 19% de l’Uranium, 42,6 de la bauxite, 52% des diamants du monde et 42% des gisements d’or … Des richesses qui pourraient aider à créer l’emploi et améliorer le quotidien des peuples qui continuent de se déplacer à la recherche du paradis occidental.
Pour l’homme Politique, l’industrialisation, le partage des ressources et le travail patriotique des gouvernants ne sont en aucun doute un bouclier à cette grande perte « L’Afrique se vide de ses enfants, l’Afrique se vide de ses compétences sous nos yeux complices », tout part donc de décisions et de volontés politiques. Il est également d’encadrer la diaspora africaine qui reste « efficace et efficiente », « capable de contribuer à la construction réelle de l’Afrique », ce dont elle a besoin : des facilités afin que la nationalité reste inaliénable, l’africanité aussi.
L’Europe se moque des africains
« Les libertés sont restreintes pour les migrants partant d’Afrique pour l’Europe, or il n’en est pas le cas pour les migrants d’Amérique pour l’Europe » Après avoir « appauvri » le continent, les dirigeants occidentaux vantent le paradis où ils interdisent et ou rendent encore difficile l’accès aux Africains. Et préfèrent installer des « camps de réfugiés » ou implanter des centres d’aides dite humanitaire dans les pays ; mais en ce qui concerne l’approvisionnement en matières premières « créent des programmes de facilitation pour leur enrichissement comme l’AGOA, APE etc… ».
L’heure est venue de redonner aux peuples africains leur dignité, cela passe impérativement par la capacité de se vêtir, se nourrir, se loger, d’avoir un emploi et la paix. Cinq piliers sur lesquels le Peuple Uni pour la Rénovation Sociale chapeauté par MATOMBA S.E appui sa vision pour réduire, voire éradiquer l’immigration qui n’existerait plus si l’Afrique devenait le paradis qu’il a toujours été, et nourrissait le monde. Industrialisation, bonne gouvernance, démocratie économique… La feuille de route des nouveaux dirigeants.
