Selon des groupes de défense des droits de l’homme, les libertés seraient en danger dans le pays. Hier mardi 18 janvier 2022, 21 de ces groupes ont organisé une conférence de presse afin de dénoncer certains agissements des autorités. En effet vendredi dernier, des manifestants ont été violemment battus et nombreux auraient été arrêtés. Parmi les personnes violentées se trouvaient des journalistes et photographes étrangers et tunisiens. Selon Mehdi Jlassi, président du syndicat des journalistes tunisiens, la situation est dangereuse et il invite les autorités à avoir un discours clair sur les droits et les libertés