Outre son apport en protéines de qualité, le poisson est une source de nombreux micronutriments essentiels pour la santé de l’individu.
Son degré de consommation est assez élevé dans la cité capitale.
Dans nos marchés , notamment au marché New Deïdo , s’en procurer est plus qu’un casse-tête chinois. Au vue de sa pénurie et de son coût élevé, les ménagères préfèrent affluer vers le poulet qui est assez abordable. Actuellement avec 1000fr, 1500 ou 2000frs chacun peut s’offrir cette merveille au détriment du poisson.
Non loin des étalages de poisson, le prix élevé de la viande de bœuf met aussi les commerçants de ce secteur dans une colère noir.
Les commerçants ne sachant à quel saint se vouer lance un gros d’alert aux autorités ceux-ci trouvent des solutions.
Alice Lafortune NGALLE