Le peuple Uni pour la Rénovation sociale, veut un Cameroun différent. A travers son projet de société, le PURS prône entre autres, le renouvellement de la classe dirigeante.
Dans un pays qui traverse de grandes zones de turbulences due à la mauvaise gouvernance, il est important de former des camerounais conscients, déterminés et disposant de toutes les ressources pour une marche décisive vers le changement. Pour y parvenir, le PURS insiste sur la nécessité de refonder le système éducatif camerounais, surtout quand on sait que l’accès limité à l’éducation, est un des moyens les plus avérés de transmission de la pauvreté d’une génération à l’autre.
Le peuple Uni pour la Rénovation sociale, veut un Cameroun différent. A travers son projet de société, le PURS prône entre autres, le renouvellement de la classe dirigeante. Dans un pays qui traverse de grandes zones de turbulences due à la mauvaise gouvernance, il est important de former des camerounais conscients, déterminés et disposant de toutes les ressources pour une marche décisive vers le changement. Pour y parvenir, le PURS insiste sur la nécessité de refonder le système éducatif camerounais, surtout quand on sait que l’accès limité à l’éducation, est un des moyens les plus avérés de transmission de la pauvreté d’une génération à l’autre.
Le programme du PURS (Peuple uni pour la rénovation sociale), met un accent particulier sur l’éducation, qui apparaît comme le secteur le plus dégradé de la société camerounaise. Le manque d’infrastructures est criard et la formation actuelle, empêche les citoyens de s’auto employer. Pourtant, le Cameroun a besoin des hommes et femmes intègre qui accomplissent la loi et respectent leurs devoirs avant de revendiquer leurs droits. A cet effet, Le projet de société du candidat à l’élection présidentielle de 2018 Serge Espoir Matomba, souligne que le système éducatif du Cameroun doit être refondé. Les enfants sans distinction de sexe ont droit à une éducation de qualité, vectrice de meilleures chances dans la vie notamment en termes d’opportunités, de santé et de participation au processus politique. Hélas au Cameroun, l’on déplore le manque d’infrastructures scolaires et l’ascension des formations garantissant la dépendance des camerounais dès obtention de leurs diplômes.
La formation au niveau des écoles primaires, secondaires est totalement à revoir. La réinsertion de l’éducation civique et morale reste d’actualité. Nous imposons une loi « Ecole pour tous » ouvrant les portes des écoles primaires gratuitement aux enfants. Les Lycées seront subventionnés en partie et dotés de bibliothèques de pointe. Les professeurs bénéficieront de primes d’encouragement et d’excellence suivant les résultats obtenus en fin d’année. Des bourses d’étude seront offertes aux élèves excellents afin de leur permettre la poursuite de leurs études en toute sécurité. Les universités privées allègeront leurs coûts de formation afin de se positionner sur le revenu moyen des ménages et octroyer des échéances de paiement plus favorables aux parents. Pour ce qui est de la construction de nouvelles infrastructures scolaires, chaque village sera doté d’une école primaire publique et une école secondaire par arrondissement. Nous prévoyons également, la construction d’une université par région. Des partenariats avec des écoles supérieures internationales, seront signés afin de permettre leur implantation au Cameroun, réduisant ainsi les coûts d’envoi des étudiants à l’extérieur.
Serge Espoir Matomba, premier secrétaire du PURS.
Le PURS appel aussi au renouvellement de la classe dirigeante car, au Cameroun, seulement 398 046 emplois ont été créés en 2017, des chiffres liés aux recrutements de fonctionnaires et autres entreprises gouvernementales. Pourtant, le fonctionnariat n’a jamais aidé un pays à se développer cependant, la projection d’un tissu économique solide doit miser sur l’entreprenariat. De ce fait, Le projet de société du PURS, réserve une place importante à la jeunesse. Afin de sortir les populations du chômage, Serge Espoir Matomba prévoit la création de 5 millions d’emplois en 5 ans, dès sa prise de pouvoir. Par ce canal, l’homme politique entend rendre dynamique le climat des affaires au Cameroun.
Depuis plusieurs années, nous discutons avec des leaders politiques pour échanger sur la vision que nous avons du Cameroun. Avec certains, nous avons convergé dans le même sens (Bernard Njonga, Maurice Kamto, Josuah Osih, Olivier Bile, Romain Rolan Kouotou) avec d’autres, ça s’est arrêté en queue de poisson. Certains visaient juste à faire usage du PURS pour présenter leur candidature providentielle. Or, une élection ne s’improvise pas, elle se prépare et se gagne. Au bout de 8 ans de travail acharné et passionné, je peux manifester l’engagement que j’ai pour donner un nouveau visage au Cameroun.
Poursuit Serge Espoir Matomba, premier secrétaire du PURS et candidat à l’élection présidentielle de 2018.
Après la légalisation en 2010 de cette formation politique, le premier secrétaire du PURS n’a cessé de faire le tour du Cameroun pour toucher du doigt les difficultés quotidiennes des populations. Face au choléra qui faisait des ravages dans la partie septentrionale du Cameroun et d’autres régions, le PURS a lancé en 2011, une campagne de lutte contre cette maladie ainsi qu’une sensibilisation des jeunes pour leur inscription sur les listes électorales. L’homme du terrain Serge Espoir Matomba ne s’arrête pas là. D’autres actions en faveur des jeunes sont menées. Le PURS offre des stages de vacances aux jeunes fondés sur la formation à la citoyenneté et à la salubrité. Serge Espoir Matomba qui a bénéficié d’une éducation chrétienne, présente ainsi au peuple camerounais un projet de société à la fois captivant et émouvant. Doté d’un sens du partage et de la responsabilité à nul autre pareil, le politicien qui le 30 septembre 2013 a été élu par le peuple camerounais conseiller municipale de Douala IV, s’engage à lutter aux côtés de ses frères camerounais pour le développement du Cameroun.