Alors que le premier secrétaire du PURS, après restructuration de son parti se trouve sur le terrain pour une vaste campagne d’Athésien et de distribution des cartes et pour le débat socio-économique, des informations glanées à bonne source indiquent qu’une cabale politique est silencieusement ourdie contre lui, pour lui casser les pieds dans la course vers les échéances de 2025.
Serge Espoir Matomba est davantage présenté comme le candidat adéquat de toutes les couches de la société camerounaise pour le compte de la présidentielle 2025. Ses pages des réseaux sociaux et les campagnes d’adhésion à son parti sont courues par des milliers de jeunes et moins jeunes qui le portent à cœur, pour sa vision et ses projections socio-économiques qui jettent un regard et de grands espoirs sur les secteurs clés de la vie de la nation. Matomba fait partie des candidats les plus jeunes de la présidentielle avec accent particulier sur la rupture, un discours qu’affectionne particulièrement la jeunesse camerounaise qui projette d’être une priorité pour lui dans un contexte actuel où la jeunesse est ignorée et négligée.
Des actions concrètes
Depuis la présidentielle 2018, le candidat du PURS peaufine sa stratégie pour les échéances à venir. Il ne s’est donné aucun repos pour mieux ménager sa monture, afin sa politique soit mieux comprise tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Les contacts et consultations internationales
Matomba a clairement affiché ses convictions Panafricanisme depuis les premières heures de sa carrière politique. Le but étant de mener à sa façon et par ses convictions, le combat de la libération sociale et économique de l’Afrique d’une part et du Cameroun de l’autre. Il a pris position contre toute forme de domination continue de l’occident sur une Afrique qui dispose des hommes et femmes et d’une jeunesse dynamique capable d’insuffler le développement du continent Africain par les Africains eux-mêmes. On comprend aisément le soutien qu’il apporte à ses frères du Mali, du Burkina Faso et du Niger, qui ont sérieusement emboité le pas vers cette nouvelle indépendance.
Mais serge Espoir Matomba a fait plus encore, en faisant venir au Cameroun des figures emblématiques de la lutte contre la néo-colonisation en Afrique. Kemi Séba que l’on ne présente plus et Charles Blé Goudé l’un des chouchous et modèles de la jeunesse Africaine ont foulé la terre du Cameroun sur invitation du premier secrétaire du PURS. Ces deux personnalités ont drainé des foules de milliers de Camerounais dans les villes de Yaoundé et Douala. Leurs discours, typiquement conformes aux aspirations des populations Africaines ont été le prolongement de la logique et de la graine semée depuis plus d’une décennie par Serge Espoir Matomba. En plus, Matomba a tenu à observer pour mieux comprendre, le fonctionnement socio- politique et économique de certaines grandes puissances Africaines et mondiales. En gros il a voulu en savoir plus sur la marche du monde pour sa culture personnelle et pour fourbir ses armes.
La récompense à la Camerounaise
Seulement, toutes ces actions ne sont visiblement pas bien prises par certains conservateurs politiques tapis dans l’ombre. Ils voient en Matomba, un rival qui a pris du poids, et qui progressivement répond au profil que se font les camerounais de leur prochain dirigeant. Résultat de courses, on assiste depuis quelques jours à un montage d’une cabale agencée sur une série d’accusations gratuites, des menaces et intimidations visant à casser la dynamique du PURS. Pourtant il s’agit simplement des actions favorables à l’amélioration des conditions de vie des populations camerounaises, lasses de vivre dans la misère. Pourquoi sa choque alors de savoir que quelqu’un envisage un meilleur avenir des camerounais ? Les camerounais ne le méritent-ils pas ? Pourquoi tenter de casser les actions de quelqu’un qui pense autrement ?
Les jours à venir vont probablement nous révéler les véritables acteurs des dessous de ce complot politique qui laisse apparaitre ses premiers signes. Mais une chose est certaine, Matomba ne reculera pas. Il est visiblement conscient des défis qui l’attendent et des embuches qui vont joncher son parcours vers la présidentielle de 2025.