En RDC, les investisseurs saluent l’amélioration du climat des affaires. Selon l’agence de notation panafricaine Bloomfield le pays est passé de 5,1 à 5,5 sur une échelle de 10. Ce qui traduit, un risque modéré d’investissement dans le pays. De quoi rassurer les investisseurs publics et privés, qui viennent de prendre part à la 2ème conférence sous le thème « Pays risque en RDC ».
Selon l’agence de notation panafricaine Bloomfield, la RDC enregistre une note de 5,5 sur une échelle de 10 en terme d’amélioration du climat des affaires contrairement au 5,1 de l’année dernière. Soit, une augmentation de 40 points de base. « Ce qui représente un risque modéré sur notre échelle au regard de cette méthodologie. Cela signifie, que nous disons aux créateurs de richesses qu’ils peuvent venir investir en RDC », partage Stanislas Zeze, directeur général de Bloomfield. De Bon augure pour nombre d’investisseurs publics et privés qui ont répondu présents à la 2ème édition de la conférence sous le thème « pays risque en RDC ».
Objectif de cette initiative du Ministère des finances, aider les investisseurs à comprendre les risques et opportunités dans le pays. Des assurances qui ont contribué à renforcer la confiance de certains acteurs au niveau local. « Dans l’ensemble, c’est une bonne chose, parce que nous pouvons voir que le gouvernement est prêt à faire des améliorations », précise la DG, Glencore RDC.
Depuis 2019, Le président Felix Tsisekedi a toujours affirmé sa volonté d’améliorer le climat des affaires. Le potentiel d’investissement est présent seulement, devra répondre efficacement à la demande sociale avec la création d’emploi et de richesses. Compte tenu du vaste gisement de minerais dont dispose la RDC, la pierre angulaire de ce développement devra sans doute s’articuler, autour de la diversification de l’économie nationale.