27 décembre 2024, 6:38 am

Ajoutez votre titre ici

RDC : la Cour de cassation annule la condamnation à 13 ans de prison de Vital Kamerhe

L’allié et ancien directeur de cabinet du président Félix Tshisekedi est poursuivi pour détournement de près de 50 millions de dollars alloués à la construction de maisons préfabriquées pour des militaires et des policiers.

Le vent tourne peut-être en faveur de Vital Kamerhe. Progressivement, il a pu remporter plusieurs rounds dans cette bataille juridique très médiatisée en RDC.

Condamné en avril 2020 à 20 ans de prison, il avait vu sa peine réduite en appel à 13 ans de servitude pénale. Non satisfait, Vital Kamerhe avait alors décidé d’attaquer l’arrêt de la cour d’appel de Kinshasa devant la Cour de cassation. Parallèlement, il avait pu obtenir, en décembre dernier, une liberté provisoire et une autorisation d’aller se faire soigner en France.

La décision de la Cour de cassation lundi s’ajoute donc à cette série de bonnes nouvelles pour celui qui était le bras droit de Félix Tshisekedi entre 2018 et 2019.

Redigé par:

Source:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Partagez

Espace annonceur

Les Plus commentés

Hadj 2018 : Paul Biya fait un geste aux pèlerins
Douala: Serge Espoir Matomba muselé par le maire de Douala IV
Cameroun: Samuel Dieudonné Ivaha Diboua s’oppose aux actes de délinquances
Grand dialogue national: le passage mémorable des ex-combattants séparatistes

Articles qui pourraient vous plaire

Rechercher ...

Téléchargez notre application For you Media Africa dès maintenant

Ce site utilise des cookies

Nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations relatives à l’appareil. Nous le faisons pour améliorer l’expérience de navigation et afficher des publicités personnalisées. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou des identifiants uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir des conséquences négatives sur certaines caractéristiques et fonctions.