Le président de la transition du Tchad, Mahamat Idriss Déby a signé samedi 25 mars une grâce présidentielle en faveur de 380 des plus de 400 rebelles du Fact (Front pour l’alternance et la concorde) condamnés mardi dernier.
Un décret signé par Deby et publié samedi indique que les rebelles du FACT « bénéficieront de la grâce présidentielle », mais que le chef du groupe, Mahamat Ali Mahadi, qui a été condamné à la prison à vie par contumace, n’est pas concerné par cette mesure de clémence, puisque le Tchad a lancé un mandat d’arrêt international contre Mahadi.
Les rebelles du FACT qui ont bénéficié de la grâce ont été capturés en avril 2021, lors d’affrontements avec l’armée dans le nord du Tchad.
Les 380 membres du Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (FACT) faisaient partie des 400 personnes condamnées à perpétuité, le 21 mars dernier, dans le cadre de l’affaire relative à l’assassinat de l’ancien président Idriss Deby Itno, père de l’actuel dirigeant tchadien.
Ils ont été reconnus coupables d’actes de terrorisme, d’atteinte à la sécurité nationale, de mise en danger de la vie du chef de l’État et de recrutement de mineurs, entre autres chefs d’accusation.
Un décret signé par Deby et publié samedi indique que les rebelles du FACT « bénéficieront de la grâce présidentielle », mais que le chef du groupe, Mahamat Ali Mahadi, qui a été condamné à la prison à vie par contumace, n’est pas concerné par cette mesure de clémence, puisque le Tchad a lancé un mandat d’arrêt international contre Mahadi.
Les rebelles du FACT qui ont bénéficié de la grâce ont été capturés en avril 2021, lors d’affrontements avec l’armée dans le nord du Tchad.
Les 380 membres du Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (FACT) faisaient partie des 400 personnes condamnées à perpétuité, le 21 mars dernier, dans le cadre de l’affaire relative à l’assassinat de l’ancien président Idriss Deby Itno, père de l’actuel dirigeant tchadien.
Ils ont été reconnus coupables d’actes de terrorisme, d’atteinte à la sécurité nationale, de mise en danger de la vie du chef de l’État et de recrutement de mineurs, entre autres chefs d’accusation.