Le peuple a porté le combat comme un seul homme. Les autorités ont frappé du poing sur la table. Certains médias s’en sont mêlés, mais leur réaction reste encore timide, au regard de la pression exercée par ces réseaux internationaux sur la Cameroun. Ce qui est curieux tout de même est le silence assez éloquent de l’église, des ONG tant nationales qu’internationales.
Les camerounais avertis sur les faits qui marquent le quotidien de la vie nationale sont unanimes à constater que nombreuses organisations et associations qui ont pourtant grandes gueules sur notre pays sont muettes depuis la passe d’armes entre le Cameroun et les réseaux LGBT.
Elles sont comptées par dizaines, les organisations non gouvernementales qui opèrent au Cameroun sous le sceau de la préservation des droits des personnes, sur la protection des libertés individuelles, de l’éducation, des réfugiés, brefs elles se disent spécialisées et soucieuses des problèmes de la personnes humaines. Peut-être que le faite de voir un mineur violé par un adulte du même sexe que lui ne fait pas partie de ses missions, peut aussi que protéger un jeune homme sous la pression sexuelle d’un autre est un fait banal, peut être que le rapport des hôpitaux sur les conséquences de cette pratiques est plutôt un faite encourageant… C’est alors peut-on conclure, la raison pour laquelle les ONG si souvent riches en déclarations sur le Cameroun ont toute avalé leur langue.
Où est donc passé le très célèbre human right watch avec sa verve incandescente sur le Cameroun, avec ses implications sournoises dans les problèmes internes de notre pays ? Où sont passées les hautes institutions Européennes, grandes donneuses de leçons ? L’Union Européenne on le sait depuis des années tente un coup de force sur le Cameroun pour faire du chantage afin d’installer officiellement « cette chose » dans notre pays. Elles ne peuvent pas faire une sortie contre leurs bailleurs de fonds. C’est se tirer une balle dans le pied, scier la branche sur laquelle on est assis.
L’Eglise !!!
Elle est silencieuse aussi. Pas une seule sortie d’une congrégation, elles sont pourtant toutes au fait du débats. Le ver est-il dans le fruit ?
Même les patrons de l’église catholique du Cameroun sont muets. Pas de grande sortie comme nous les connaissons de la part de de la conférence épiscopale pour fustiger cette choses-là ? Pour donner la position réelle de l’église. Peut-être qu’il a fait une sortie dans ce sens. Ces sorties tonitruantes à fortes couvertures médiatiques et forte pressions politiques sont pourtant nécessaires dans ce type de situations. Sauf que nous en sommes sure, rien ne sera fait, il ne faut rien attendre comme sortie officielle de l’église catholique, car elle est elle-même impliquée dans ce types de scandales au Cameroun, certes de nombreux prêtres sont officiellement dits sanctionnés, mais en réalité quelle est l’ampleur de ces sanctions ? Sinon un simple changement de lieux de chasse.
Les Médias
Certains médias aussi ont préféré garder leur mutisme. Aucun relaie d’information, aucune prise de position éditoriale. Le phénomène semble aussi avoir gangréné une certaine presse camerounaise qui flirte avec les lobbys LGBT. Que faut-il attendre de ces médias là pour faire blocus à ce phénomène destructeur de l’humanité, rien. Là aussi c’est la politique du ventre, il faut protéger sa mamelle nourricière.