La sixième session de l’assemblée des nations unies pour l’environnement s’est ouverte le 26 février au Kenya. Objectif, mettre en place des mécanismes et solutions pour remédier aux conséquences néfastes du changement climatique sur l’environnement.
Le Kenya accueille depuis le 26 février la 6e session de l’assemblée des nations unies pour l’environnement dans sa capitale Nairobi. Ils sont plus de 6.000 délégués de 182 pays qui prennent part à cette rencontre qui se déroule tous les deux ans pour discuter des conséquences du changement climatique sur l’environnement. Cette année, les discussions seront axées sur la recherche de résolutions sur le nombreuses questions allant notamment des solutions fondées sur la nature aux pesticides très nocifs, en passant par la dégradation des sols et la sécheresse.
Selon les nations unies, les résolutions prises porteront entre autres sur « la modification du rayonnement solaire, les actions multilatérales efficaces, inclusives et durables en faveur de la justice climatique, la gestion rationnelle des produits chimiques et des déchets, ainsi que les tempêtes de sable et de poussière. »
Cette rencontre dénommée « Parlement mondial de l’environnement » se tient sur fond d’une « triple crise planétaire » du changement climatique, de la perte de la nature et de la pollution. Ces délégués devront prendre des décisions qui orienteront le droit international de l’environnement, que le PNUE se chargera d’implémenter.
L’Assemblée des Nations Unies pour l’Environnement a été créée en 2012 et est l’organe décisionnel mondial le plus important en matière d’environnement et compte les 193 États membres des Nations Unies.