Comme tous les pays qui aspirent à leur souveraineté ainsi qu’à prendre leur destin en main, la République centrafricaine est au cœur du changement qui bouleversera l’aspect géopolitique en Afrique Centrale de par l’événement historique à venir qu’est le référendum constitutionnel tant réclamé par le peuple centrafricain des mois durant. Le pouvoir exécutif chapeauté par le visionnaire Président Faustin Archange TOUADERA a répondu à cet appel du peuple qui ne désire qu’une chose, écrire sa propre histoire, voir ses aspirations hissées au rang des priorités de l’État.
Des indépendances factices aux constitutions dépourvues de liberté
Depuis l’indépendance factice, la constitution centrafricaine rédigée par des « sachants » français, restait un blocage au développement et à la souveraineté du Centrafrique. Plus encore celle de 2016 qui ramène le pays 100 ans en arrière et limite le gouvernement en place à un pouvoir de transition, bien que ce soit un gouvernement mature doté d’une politique qui sied au peuple.
Les rouages contenues dans la constitution de 2016, contiennent le pouvoir exécutif dans une camisole de force, l’empêchant de répondre aux préoccupations du peuple, de mettre en place des conditions de développement réel, de construire et nouer des partenariats avec des pays qui désirent épauler ce pays leader d’Afrique centrale.
Les pas vers le changement, dans la protection de la légalité
Rattaché à la légalité, le Président TOUADERA s’est toujours donné les moyens de respecter cette constitution imposée, malgré les difficultés que cela incombe. Déterminé à faire du Centrafrique un pays sûre, développé et leader, il feint de ne pas être coincé par la loi fondamentale, jusqu’à ce que ce peuple avisé qu’il dirige, le mette devant les faits: vous ne pouvez pas continuer avec des textes comme ceux-là ! Disant oui à une réécriture constitutionnelle et disant oui à un référendum constitutionnel.
C’est l’élan du peuple qui donne de l’espoir et du courage à un Dirigeant patriote désireux d’accomplir de grandes choses pour son pays. Ainsi, le référendum constitutionnel a été fixé à la date du 30 juillet 2023 par décret présidentiel, ouvrant la voie à une campagne référendaire qui elle, débutera le 15 du même mois.
La voix du peuple va triompher
Après avoir été rédigée par un comité purement et entièrement national, composé de souches importantes de la nation, cette constitution sera vulgarisée aux fins de donner au peuple, les arguments pour le OUI ou pour le NON. Le Directeur national de la campagne référendaire, l’honorable Evariste NGAMANA a annoncé que celle-ci se fera dans les médias, mais également qu’elle va revêtir un caractère de proximité, avec le partage du document physique dans les ménages, les descentes dans les villages. De quoi maintenir en éveil une population avertie, sur l’enjeu historique que représente ce scrutin référendaire prochain.