Les partenaires identifiés pour participer à la mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle ont solennellement manifesté leur désir de contribuer à un meilleur accès des populations aux soins de santé de qualité, chacun dans son domaine.
OMS, Banque Mondiale, GIZ, Helen Keller, Plan Cameroun, UNFPA, Onusida, HCR, Croix Rouge, ACMS, CICR,… ils étaient nombreux, le 30 mars 2023 dans la salle de conférences du Minsanté, à prendre part à la réunion de concertation organisée, à leur intention, dans le cadre du lancement de la phase 1 de la CSU.
Des différentes prises de parole, l’on retient qu’au cours de cette rencontre présidée par la Secrétaire Général, le Pr Louis Richard NJOCK, au nom du Ministre de la Santé Publique, tous les partenaires se sont réjouis de la grande avancée enregistrée en faveur de la mise en route effective de la CSU et ont aussitôt signifié leur engagement à accompagner le Gouvernement dans la réalisation de la phase 1 de ce projet.
Qu’il s’agisse de l’appui au financement de la production des outils de communication, de la formation des acteurs à l’enrôlement ou au suivi-evaluation, de l’appui à l’achat des intrants, entre autres, ils ont affirmé être disposés. Reste que des séances de travail avec la Cellule Technique Nationale (CTN) et les Directions techniques concernées s’avèrent nécessaires pour affiner leur ancrage dans le processus concernant les contributions de chaque entité. Le président de séance a d’ailleurs requis deux semaines pour peaufiner ces aspects afin qu’à la troisième semaine, une réunion de coordination permette d’harmoniser les differentes interventions dans le document-projet.
Auparavant, l’état de mise en œuvre de la phase 1 de la CSU a été présenté par le Dr. MINTOP Anicet Désiré, Coordonnateur de la CTN, duquel il ressort les réalisations effectuées jusqu’ici et celles à venir. A sa suite, le Dr. ZEH KAKANOU, Chef de la Division de la Coopération a souligné l’intérêt de la mobilisation des PTF pour le démarrage effectif de la phase 1 de la CSU : celui notamment de couvrir les gaps financiers pour l’atteinte des objectifs escomptés.